L'écrivain gabonais Jean DIVASSA NYAMA a présenté ses différentes oeuvres littéraires à la population de Mouila. La cérémonie a eu pour cadre la salle des mariages de l'hôtel de ville de Mouila en présence du sécrétaire général de province, du directeur provincial de la culture et du 2ème adjoint au maire chargé de l'Education, de la Culture et de la Vie Associative.Les livres ainsi présentés sont:
- L'amère saveur de la liberté
- L'oncle mâ
Ces livres retracent les faits historiques, culturels et même civilisationnels des populations du sud du Gabon en l'occurrences le peuple Punu. Dans sa présentation , M. Jean DIVASSA NYAMA a insisté sur la relation intime qui liait Mavouroulou plus connu sous le nom de Nyande Makite à Mbombé, le grand guerrier Tsogho qui a combattu contre les troupes coloniales françaises dans la région de la Ngounié de 1904 à 1906. Qa uant à Nyonde Makite, il a donné des sueurs froides aux colons de 1906 à 1911 à Mukab dans la régin de la Nyanga.Tous deux étaient des meneurs d'hommes, humbles, exemplaires ayant un idéal commun: la liberté de leurs concitoyens et le refus de la domination de l'étranger.
L'AMERE SAVEUR DE LA LIBERTE relate la vie de Mavouroulou qui avait lors de la bataille décisive de Muka 1000 guerriers sous sa responsabilité. Il va perdre cette bataille non pas parce que la puissance de feu des colons était forte mais parce que ceux -ci les avaient affamés en brûlant leurs villages et plantations. Mavouroulou ne fut point capturé maie ses devant la détresse et la mort quasi quotidienne de ses concitoyens, il se rendit à l'armée coloniale du poste de Ndéndé où il mourut le 02 décembre 2013. Il faut préciser que Mavouroulou venait àchaque fois se reposer et se refugier à Nyangue mukambu à Ndéndé quand il était recherché à Mukab. C'était le village de ses oncles.
LE VOYAGE DE L'ONCLE MA plonge le lecteur dans la tradition punu avec ses légendes, ses épopées, se poèmes et ses chansons.
Outre ces oeuvres, Jean DIVASSA NYAMA a aussi présenté OPUMBI et parlé de son roman en préparation qui traitera de la paix qui sera une synthèse de toutes les guerres contre les colons blancs qui ont eu lieu au Gabon.
Nous exhortons le ministère de l'éducation nationale à introduire la littérature gabonaise dans les programmes scolaires. Il est temps que le jeune gabonais s'approprie son histoire et vante se héros comme nos amis de l'Afrique de l'Ouest adulent Soundjata Keita et autres.
Jean DIVASSA NYAMA est né en 1962 à Moabi au sud du Gabon dans la province de la Nyanga.Il a reçu le Grand prix littéraire de l'Afrique noire et il est lauréat du Grand Prix des lettres 2013.
vendredi 19 juillet 2013
jeudi 11 juillet 2013
COUPE DU GABON : LA HONTE DE L'ARBITRAGE GABONAIS
Le Temple Sportif Bourgeons vient de perdre son match des 1/4 des finales contre Gwen Asuku les armes à la main. Nous ne contestons pas sportivement la victoire de notre adversaire mais nous nous indignons de l'arbitrage gabonais et surtout du manque de personnalité et de dignité des arbitres venus de Libreville. L'une est et pourtant fifa Mme Patricia OBONE et l'autre est fédéral M. LEPENGUET.
La victoire de Gwen Asuku ne nous surprend pas parce que la présence de ces arbitres et surtout du commissaire du match M. Lin COME n'était pas fortuite. Le commissaire du match est le président de la commission d'arbitrage à la linaf et nous savons qu'il est l'homme -lige du président de Gwen Asuku.
Le spectacle que Mme Patricia OBONE nous a présenté est indescriptible et honteux: des fautes imaginaires, des hors-jeu autoritaires, un penalty complaisant. Quelle honte! Spectacle indigne pour un arbitre fifa.
Nous comprenons pourquoi l'arbitrage gabonais n'a pas assez de représentants lors des compétitions internationales. La prochaine fédération doit impérativement organiser des séminaires de formations dont les modules porteraient sur:
- le recyclage et les lois de jeu
- l'éthique sportive et morale
Ce n'est que de cette façon que l'arbitrage gabonais
La victoire de Gwen Asuku ne nous surprend pas parce que la présence de ces arbitres et surtout du commissaire du match M. Lin COME n'était pas fortuite. Le commissaire du match est le président de la commission d'arbitrage à la linaf et nous savons qu'il est l'homme -lige du président de Gwen Asuku.
Le spectacle que Mme Patricia OBONE nous a présenté est indescriptible et honteux: des fautes imaginaires, des hors-jeu autoritaires, un penalty complaisant. Quelle honte! Spectacle indigne pour un arbitre fifa.
Nous comprenons pourquoi l'arbitrage gabonais n'a pas assez de représentants lors des compétitions internationales. La prochaine fédération doit impérativement organiser des séminaires de formations dont les modules porteraient sur:
- le recyclage et les lois de jeu
- l'éthique sportive et morale
Ce n'est que de cette façon que l'arbitrage gabonais
longtemps admiré et respecté du temps de Diramba, Pierre Alain Mounguengui et autres pourra retrouver ses lustres d'antan.
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